Cher journal, 11.03.2014
J'écris mes première lignes dans un Humvees humide roulant en direction de Kazan ville majeur de la population rebelle. Mais, vous vous demandez comment la Fédération Russe a telle plongés dans les abominations de la guerre civile. Commençons par le tout début, le président russe de l'époque, Frederic Dymitrov, avait ordonné une hausse des impots de 50% et une restriction consommation énergie de -25% pour, soit disant, empêcher une catastrophe climatique. La population accepta l'idée avant qu'un agent de l'ONU en mission secrète ne découvre que Dymitrov utilisait l'argent des
impots dans le trafic de drogues en collaboration étroite avec la Mafia russe. Dymitov fut assassiné lors d'un attentat suicide mais son fils, Arnold Dymitov reprit les idées de son père avec l'envie de venger sa mort. Les Fédéralistes russes engagèrent donc une guerre contre nous, les ''Rebelles''.
La Russie était coupée en deux, la frontière s'étendait de Kazan à Volgograd, villes ou nous avons posté une armée régulière. Les Fédéralistes avait avec eux l'appuie de la Mafia russe, ce qui terrifiait la population.
Cela fait maintenant une heure que je suis arrivé à Kazan, je me suis enrolé dans l'armée afin de contester le Tyran Dymitov, j'ai laissé ma petite femme Andrea à Perm avec notre fils de 3 ans, Jo. Je leur ai promis de revenir.
J'ai pris me quartiers dans un compartiment assez exigu où l'humidité règne en maître. Je partage cet abris de fortune avec 20 autres soldats, nous sommes du même peloton, le peloton A-75, notre capitaine se prénomme Alexandr Yamatov. Depuis mon arrivé au camps, je n'ai pas quitté mon journal.
Je me suis laissé surprendre par cet ennemi sournoi qu'est le sommeil, à mon réveil, une combinaison militaire ''camouflage'', des bottes noires, un gilet ''pare-balle'', une MKA1, sorte de mitrailleuse, et un Magnum étaient posés à mes pieds.
---------------------------------------------------------------------------------------------------------------------------------
2nd extrait
Le peloton est moi-même sommes maintenant engouffrés depuis 1.00 dans un camion blindé, nous arriverons à la lisière de la forêt dans quelques minutes, un mélange d'exitation et d'appréhension à depuis bien longtemps déjà envahit mes pensée, l'exitation à l'idée de venger la population russe, et la peur de mourir, mais nous voilà arrivés. Nous nous déployons dans la forêt en profitant de la densité des arbres et de l'obscurité, au loin, des coups de feu se font entendre. La garnison de Volgograd a démarrer les hostilités. Le campement Fédéraliste est seulement situé à quelques mètres de nous, quand notre capitaine Alexandr Yamatov
nous donne le signal.
Nous ouvrons le feu avec nos MKA1, nos ennemis tombent sous nos tires. Leur armée est coupée en deux. Les balles sifflent au-dessus de ma tête, je décide de m'accroupir quand....
-GRENADE!!!!!
Trop tard. L'explosion me projette, moi, et deux autres camarades, à quelques dizaines de mètres de la Fusillade, un filet de sang coule le long de mon visage et il m'est impossible de bouger mon bras gauche, mais je suis en vie. Je constate que mes deux collègue n'ont pas eu cette chance, leurs corps sans vie gisent dans une mare de sang. J'essaie de me relever, la haine jaillit dans mes yeux, mon bras gauche pend le long de mon corps, à l'aide de mon bras droit, je ramasse ma mitrailleuse et appuie comme un forcené sur la gachette, je saute au dessus d'un tonneau, je suis à découvert mais je m'en fous.
Les Fédéraliste tombent sous mon assaut, une balle plus vicieuse, plus traître que les autres atteint mon épaule droite, je tombe dans une flaque d'eau, je me relève. Je tourne la tête et je m'aperçois que le reste de l'armée ennemie est regroupée dans un Bunker. Mes collègue lancent l'assaut aidés par la garnison de Vologograd, je m'effondre à bout de forces, mon visages ensanglanté touche le sol boueux, la pluie s'abat sur mon corps inerte. C'est terminé.
J'attends vos avis.
PS: Désolé pour toutes les fautes d'orthographes je corrigerais tout ça bientot!